Avec beaucoup d’humour, Salim Zerrouki raconte son enfance en Algérie dans un immeuble construit pour les Jeux méditerranéens de 1975. Cet immeuble atypique est habité par différentes nationalités venues de nations socialistes amies enseigner le sport aux Algériens. Salim nous raconte avec beaucoup de pudeur ses amitiés, les attaques des quartiers rivaux et l’abandon d’entretien du quartier qui devait être l’occasion pour les dirigeants algériens d’exhiber leur puissance devant le...
Calée sur l’histoire de son grand-père Vincente décédé en 1999, l’auteur retrouve ses mémoires sous forme de cahiers qui racontent la guerre d’Espagne, son arrivée en France, l’enfermement dans des camps d’internement pour ne pas dire concentration de ces milliers d’espagnols fuyants le régime de Franco et sa guerre. Il raconte comment il quitte l’Espagne en 1939 et comment, en 10 ans, il va servir 5 drapeaux différents… donc prévu...
En 1967, pas évident d’être une jeune inspectrice à San Francisco dont le père lui-même policier est mort dans des circonstances troubles. Kim est mise à l’épreuve avec son coéquipier, vieux flic bouru sur une enquête sordide : une jeune femme est retrouvée morte mutilée avec un signe satanique gravé sur le ventre.
Pour gagner leur vie, Josselin et Jehan accompagnés de leur écuyer Paulin, parcourent le monde en quête de tournois qui leur offrira gloire et fortune. Ils rêvent d’affronter le mystérieux Chevalier Noirci qui cache son identité sous un heaume et qui n’a jamais perdu un seul combat. Les trois compères ont eux aussi un secret puisque Jehan est une jeune femme se cachant sous son armure de chevalier.
« Crénom, Baudelaire ! », c’est l’adaptation en bande dessinée du roman du même nom de Jean Teulé. Portrait en ombre et lumière d’un homme ambigüe, misogyne, violent, méchant et irrévérencieux, shooté à mort, entretenant des relations ambigües avec sa mère mais qui reste un poète de référence du XIXè.
Couronnée de cheveux blancs, Aaricia a rendu son dernier souffle. Au crépuscule de sa vie, écrasé par la douleur, Thorgal se voit proposer l’anneau d’Ouroboros par le perfide Nidhogg. Qu’il le mette à son doigt, et il pourra retourner dans son propre passé, et revoir sa bien-aimée. Qu’importe le prix à payer, il est des tentations auxquelles même le héros le plus pur ne peut résister…