En 1913, Céleste Albaret entre au service de Marcel Proust. Fraîchement débarquée de sa Lozère natale, plutôt indolente, la fille de paysans n’a aucune disposition pour les tâches domestiques, mais son esprit et sa fraîcheur plaisent à l’écrivain qu’elle accompagnera jusqu’à sa mort en 1922.